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Maniaco - Sarko - le 17/02/2008 13:27 par Frederic
Voici une théorie qui est peut-être de plus en plus crédible:



"Quand il démarre un discours, on a l’impression que lui-même ne sait pas très bien jusqu’où il va aller, qu’il est dans un sentiment de jouissance par rapport l’affirmation de sa puissance" Cette phrase me terrifie, je pense en effet que Sarko n’est pas sain psychologiquement, bien que n’ayant aucune compétence particulière pour en juger. Il se trouve que par un hasard de la vie je fréquente des soignants en hopital psychiatrique. Tous sont unanimes : Sarkosy est un malade mental (maniaco-dépressif grave). Ils ajoutent que sans une prise de psychotropes régulière cet homme serait d’une instabilité chronique. Il est d’ailleurs manifestement instable même drogué quotidiennenent. En bref, l’homme qui aurait le doigt sur la gachette nuclèaire serait un dangereux psychopathe. Et personne n’en parle. Je serais currieux de prendre connaissance des ordonnances qu’il lui permettent d’acquérir les spécialités pharmaceutiques qu’il ingurgite tous les jours. Laissent-elles des traces la Sécurité Sociale ? Il est vrai que ces propos sont d’une rare violence. Son expression favorite "celui l je le pendrai sur un croc de boucher" manque un peut de retenue. Il se dit que Sarko et ces seconds couteaux promettent ce châtiment ceux qui ne se ralient pas lui. Si tu n’est pas avec moi, tu es contre moi. Cela ne vous rapelle pas un certain Georges W. Bush ? Française, Français, si nous nous laissons aller, nous allons avoir un dangereux psychopathe l’Elysée, dont la caractéristique principale sera l’absence de limites.





J’étudie moi-même la psychiatrie pour mes recherches personnelles. J’ai lu de nombreuses descriptions du trouble bipolaire (nom actuel - dsmIV - de l’ancienne psychose maniaco-dépressive), toutes convergentes car ce trouble est très caractéristique et bien identifié maintenant. Ca fait déj près de deux ans que je soupçonne N.S. d’en être atteint, force d’entendre des personnes qui l’ont approché décrire son caractère et ses sautes d’humeur. Si c’est le cas c’est effectivement inquiétant car alors il est médicalement inapte gouverner, tant le danger qu’il ferait courir serait extrême. C’est aussi dangereux que d’être gouverné par des paranoïaques (Staline, Hitler, Saddam Hussein et bien d’autres).

Pour les personnes non informées sur ce trouble, je résume très rapidement :

La personne atteinte subit des variations d’humeur de grande amplitude, oscillant entre deux états extrêmes (les pôles), l’un étant une dépression profonde (le taux de suicide des personnes non soignées est très important), l’autre un état dit maniaque. Le nom de ce dernier est trompeur, cela n’a rien voir avec une manie au sens courant. Il s’agit d’un état de surexcitation accompagné d’hyperactivité (les personnes non soignées peuvent rester plusieurs jours sans dormir et multiplient les activités), accompagné d’un sentiment d’optimisme voire d’euphorie et de confiance en soi excessif, d’absence de limite, de supériorité sur le commun des mortels, de toute puissance, d’invincibilité qui les engagent prendre des risques démesurés, agir sans retenue car ils minimisent les dangers et les difficultés. C’est assez similaire au sentiment de toute-puissance ressenti lors d’une prise de cocaïne. Par exemple ils peuvent dépenser bien au-dessus de leurs moyens car avec leur génie ils vont de toute façon faire fortune (s’acheter trois Ferrari en une fois par exemple) ; les autres ne comprennent rien la grandeur de leurs projets et exagèrent les difficultés, etc.

Dans ces moments-l ces personnes se mettent gravement en danger, ainsi que leur entourage, que ce soit physiquement (conduite dangereuse p.ex.), socialement (comportements inadmissibles, décisions absurdes) ou financièrement (j’ai ainsi sauvé de la ruine un ami dont le père manifestement maniaco-dépressif selon sa description voulait l’engager se porter caution pour des opérations immobilières plus que douteuses). L’entourage de Sarkozy président, ce sera nous tous !


La durée entre les deux phases est variable, allant de quelques jours plusieurs mois. Sans soin elles deviennent de plus en plus accentuées. Pour plus de détails lire "Gérer les personnalités difficiles" de Lelord et André, ou les "Contes d’un psychiatre ordinaire" du même François Lelord.

Le médicament spécifique de cette maladie est le lithium, sous forme de sels (c’est ce qui permet d’en faire une des rares maladies psychiatrique identifiée de manière certaine). Ca marche pour 70% des patients. Les patients traités sont généralement maintenus dans un état de dépression légère, car il est plus stable et plus contrôlable que l’état d’excitation. Mais cela leur fait une vie assez triste.

Quels sont les signes qui alimentent les soupçons sur NS ?

Son état quelque peu apathique, son air éteint lors de ses passages la télé entre la fin 2006 et début mars (cf la réflexion des auteurs des guignols "lexomil tout ça") font penser un traitement tel que décrit juste avant.

A l’inverse, tout le monde peut remarquer ses débordements verbaux, ses élans d’optimisme soudain, son incapacité "se retenir", "en faire trop". Manifestations d’un début d’état maniaque ?

De nombreux journalistes ont rapporté ou mentionné l’alternance entre des états où il semble perdre le contrôle de ses propos, où il devient excessif sous l’effet d’une euphorie manifeste, et des états d’abattement proche de la prostration où il disparaît de la circulation (comme cela s’est produit après son premier départ du gouvernement, lors de son élection la tête de l’UMP où il était quasi injoignable pendant des semaines et étonnament absent de la scène publique ; plus récemment lors de la crise avec Cécilia).



Evidemment il y a la fameuse phrase prêtée Jérôme Monod, qui Chirac disait que Sarkozy était fou, il aurait répondu "non, il est maniaco-dépressif" (plusieurs fois citée la télé par Eric Zemmour et Christophe Barbier). Et les allusions très fréquentes du même Zemmour aux étranges variations d’humeur et l’étrange caractère de Sarkozy.

On peut s’interroger aussi sur ses fameuses crises de "migraine" : ne cachent-elles pas autre chose de bien plus grave ? Sauf erreur Raffarin n’a jamais manqué un Conseil des Ministres ni été indisponible pour une cérémonie officielle alors qu’il est un vrai migraineux, avec une fréquence et une violence de crises assez importantes (il avait longuement témoigné dans un reportage d’Envoyé Spécial sur le sujet - c’était l’époque de Jospin 1er sinistre). L je reconnais être dans le soupçon, mais il est alimenté par le doute suscité par la personnalité de Sarkozy.

Mais si un bipolaire est correctement soigné, ne peut-il gouverner normalement ? Je pense que la réponse de tout psychiatre serait "non", car ce trouble n’affecte pas seulement l’humeur mais l’ensemble de la personnalité. Les médicaments limitent l’amplitude des crises mais la capacité de jugement et de percevoir les situations, le fonctionnement sont de toute façon altérés et instables, amenant l’individu faire des choix erronés, notamment lorsqu’il est soumis une certaine tension ou pression.

Remarquons que Sarkozy n’a jamais eu gérer seul de vraie crise et supporter seul la pression comme le choix d’aller ou non en Irak, une prise d’otage (genre Boeing d’Air Algérie). (La crise des banlieues a été gérée conjointement avec Villepin et Chirac qui étaient les vrais maîtres bord).

Remarquons pour faire bon poids que la maladie de Jospin (hyperthyroïdie) s’accompagne aussi d’instabilité de l’humeur et surtout d’agressivité (non soignée la personne atteinte peut devenir meurtrière comme l’arrière-grand-mère de Cléopâtre). On l’a peut-être échappé belle. Si Chirac a été un médiocre Président, au moins ne lui connaît-on aucun problème de ce type;

Texte receuilli sur antisarko.net
5 avril 2007 05:15, par toto